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UNE Vie sous-Marine durable

CONCLUSION

         L'Homme peut-il développer une vie sous-marine durable? Voici, le point de départ de tout notre travail. A travers le plan que nous vous avons proposé, nous avons tenté, tant bien que mal, de répondre à la problématique posée. Malgré les différents retours négatifs quant à notre projet, (l'avis de l'ingénieur en environnement et écologie sous-marine, Ariel FUCHS, mais aussi le résultat des différents projets déjà menés comme l'échec de Biosphère 2), une réponse à notre problématique s’est dessinée progressivement. La conclusion du scientifique Ariel FUCHS face à notre problématique fût: "la solution de vivre sous la mer ne répondra jamais à une problématique de la vie sur Terre". Nous avons donc eu la volonté de pouvoir affirmé ou infirmé ces propos. Ainsi en réfléchissant aux différents aspects de ce sujet (projets, enjeux, inconvénients et avantages), il nous a paru essentiel d'étudier l'alimentation, la pression, la corrosion, l'eau, l'oxygénation, le projet et même la lumière en milieu marin. 

 

        Récapitulons les résultats de tous nos travaux: 

 

       Ce qui nous a intrigué en premier lieu fut la pression des fluides dans un milieu clos situés à une certaine profondeur. Malgré les difficultés rencontrées, il serait possible, par divers moyens de palier à la pression de l’air intérieur (pressurisation) afin de lutter contre les méfaits de celle-ci sur l’organisme. Cependant, restait le choix du matériau de la structure externe, afin que celui-ci soit en mesure de lutter contre la corrosion et la pression entre-autres. Ici, serait souhaitable une double voûte en acier inoxydable mêlé à du chrome pour la structure centrale, puis des dômes habitbles des mêmes matériaux.

     Puis, afin de comprendre ce dont l’organisme nécessitait de manière vitale, l’étude du métabolisme vint nous faire comprendre que la vie de l’Homme résidait en trois principaux points dont il ne peut se dispenser : l’alimentation, l’oxygène et l’eau.

    Alors, concernant l’alimentation, le principal élément de substitution qui constituait une ressource saine et durable était l’algue. L’étude de ses caractéristiques alimentaires a toutefois démontré que pouvant constituer un apport conséquent en nutriments, ces plantes aquatiques ne pouvaient toutefois pas combler tous les besoins de l’organisme. D’ailleurs, dans le cas ciblé de la spiruline, son apport en protéines était trop élevé et contrastait avec une faible proportion de fibre et de lipides. Ainsi, nous avons compris que la diversité des aliments qui régnaient dans nos assiettes était indispensable au bon équilibre de l’organisme, et que la privation de certains éléments impacterait l'organisme.

       Ensuite, concernant l’oxygénation de notre milieu, nous nous sommes intéressés à deux cas, celui de la photosynthèse et celui de l’électrolyse. Ici, les végétaux, malgré leur manque de lumière, pourrait en plus de leur production d’oxygène, servir de régulateur de dioxyde de carbone dans le milieu afin qu’il ne s’en retrouve pas submergé. Ensuite, l’électrolyse pourrait elle aussi avoir une double utilisation, puisque au-delà de la formation d’oxygène après réaction chimique, il se forme également du dihydrogène pouvant servir de vecteur énergétique.

      Concernant l’apport d’eau potable, le meilleur moyen qui se présenta fut la distillation d’eau de mer. Celle-ci, quoique simple, requérait néanmoins une trop forte consommation d’énergie. Cette méthode pourrait tout de même constituer notre principale source d’eau.

        Finalement, quelques techniques non envisagées dans le plan, pourraient bien servir. Par exemple, le fait d’utiliser les forces hydrauliques comme source durable d’énergie serait une idée pertinente. 

 

Conclusion finale:

 

Des méthodes de production d'éléments essentiels à l'organisme peuvent être efficace, cependant, chacun d'entre-eux ou presque présentent des aspects négatifs. Inéluctablement, dans un espace clos, il serait envisageable de recréer une atmosphère artificielle, mais celle-ci, trop différente à celle terrestre, pourrait avoir de mauvaises répercussions sur le corps à long terme. De plus, nous restons retissent à l'idée de se nourrir exclusivement d'algues, malgré leur teneur nutritive complète, elles ne constitueraient pas une ressource suffisante. Enfin, la strucuture représenterait tout de même une complexité à immergé sous l'eau, puis à faire résiter drant des décennies sans risques. Il faudrait d'ailleurs une condition physique développée afin de pouvoir s'immerger durablement sans conquéquence grave sur l'organisme.

 Cependant, nous voyons que nous approchons petit à petit à la découverte de méthodes adaptées afin de vivre en autonomie, séparer de tous. Ces recherches sont pour le moment destinées à l'exploration spatiale, mais peuvent facilement être accoutumées à un milieu sous-marin (en prenant en compte les effets de pression). D'ailleurs, les besoins premiers peuvent déjà être satisfaites en autarcie, comme vu au long de ces TPE, mais les méthodes ne sont pas assez développées pour les assurer durablement avec un risque nul.

 

AINSI, OUI, L'HOMME PEUT AISéMENT DéVELOPPER UNE VIE SOUS MARINE DURABLE, MAIS NDEVRA ATTENDRE DE DEC

 

 

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